Mercredi 20 juin 2007 à 21:57

Raph dit :
- sinon tu penses quoi des phacochères volants?
Moi dit :
- du sud ou du nord ?
Raph dit :
- du nord bien sur.
Moi dit :
- Ah !   Et bien.. ca dépend de la taille de la noix de coco.
Raph dit :
- ceux qui ont des poils soyeux.
Moi dit :
- oui, ceux du sud ont les défenses soyeuses, eux.
Raph dit :
- Exactement.

Dimanche 17 juin 2007 à 18:00

Conseil du bus du jour :

Laissez tomber ce qui ne vous sert plus.


J'ai plus qu'à me faire une liste.

Mardi 12 juin 2007 à 19:27

La raison pour laquelle je veux vomir ces pensée grinçantes,
C'est parce qu'il n'y a aucune autre preuve de l'existence.
Le futur que j'étais censé saisir,
Est en conflit avec la dignité et la liberté.

La raison pour laquelle je veux effacer ces images tortueuses,
C'est parce que j'y vois mes  limites.
Dans la fenêtre de ma conscience extrême,
Il y a le calendrier de l'année dernière, sans rendez-vous dessus.

Efface et réécris-le.
Ta présence est bien suffisante pour me faire oublier ces fantasmes.
Réécris-le pour une spectaculaire renaissance.
Même une attirance insensée me motive pour te faconner.

Donne moi ton corps et ton âme...



Parce que c'est aussi ça, la vie, n'en déplaise à mon deuxième moi.

ET VLAN ! Prend ca, Moi !
Aieuuuh ! Je me suis fait mal...

( note d'un cousin : Tu te tripe souvent comme ca ? )

Samedi 9 juin 2007 à 11:06


Ca ira mieux demain.
Du moins je l'espère.
Parce que c'est déjà,
Ce que je me suis dit hier...


Je ne sais pas ce que c'est... cette sensation que tout part de travers.
Je ne sais pas ce que c'est... ce monde qui me dit ' y'a rien pour toi ici '.
Je ne sais pas ce que c'est... cette vie qui me fait vibrer et puis me jette dans l'abyme. Et moi, le pire, c'est que j'en redemande. Je ne connais plus ce qu'il y avait d'autre. J'ai tout perdu, en ce jour fatidique, où, pour la première fois...
Je suis mort.


Mercredi 6 juin 2007 à 15:33

Je ne sais pas quoi dire , je ne sais pas quoi faire.

Je me demande chaque jour : Mais qu'est-ce que je fais là ?

Impossible de s'accrocher, impossible de ressentir de l'empathie pour le monde humain.  Des amis ? Bah ! Ils sont là une seconde, et quand tu tourne la tête et puis que tu reviens, ils sont partis.
Interessant un jour, oublié toujours. Voilà en quoi se résume mes amitiés avec les gens de l'extérieur. Que vouliez que je dise ? On me dit parle, mais que je le fais, je parle à un mur ! J'essaie vainement de faire sortir des mots, mais ceux-ci se perdent en chemin, et meurent à peine prononcés.
Mon meilleur ami, mon frère, l'est tellement que c'est une partie de moi, et quand on parle, on a rien à se dire, car l'on sait déjà tout. C'est comme être seul avec soi.
Ici, c'est ca.
Être seul avec soi au milieu d'une foule.
Fantastique destin, n'est-ce pas ?

De plus, devoir dire ça à une machine constitue déjà une défaite.

Crotte.  Qu'est-ce que je fais là ?

Oh et puis... Vais arrêter de vivre bêtement pour les autres, à attendre je ne sais quoi pour je ne sais pas quand. Vivre pour moi serait au moins une meilleure chose. Et tant pis si je meurs au passage, ca serait pas la première fois.

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