Dimanche 29 avril 2007 à 14:35

Attention :

Le Cycle  [    F.D.D.S.L.H   ] s'enclenche.

Fear
Dislike
Duality
Sadness
Loneless
Handling

Risque de déprime à fort taux.
Mise en attente pour 168 H.
Phase de Bac blanc primordiale.
Privilégier travail intellectuel.
 Fonction de communication sociale : Off
Fonction d'attachement à la vie Terrestre : Off
Fonction du sourire; rire; émotion bloquante : Off
Fonction de détachement de réalité, de stress moral : On
Fonction du Double moi pour doper capacité : On.
Envoi du message à K.
Demande en cours...




Destinateur : M

Destinataire : K
Objet : Réponse à demande
----------------
Message recu. Réveil en cours.
Risques : Manque de sommeil pour M.

K Arrive. Préparer masque extérieur.
Transfert neuronal en cours.

A tout de suite, M.

K.
------------------





Vendredi 27 avril 2007 à 21:40

 Folie :

Tous, nous devenons chaque jour plus fous et chacun, d'une folie différente. C'est la raison pour laquelle nous nous comprenons si mal les uns les autres.
Moi-même, je me sens atteint de paranoïa et de schyzophrénie. En outre, je suis hypersensible, ce qui déforme ma vision de la réalité. Je le sais. Alors j'essaie, plutôt que de la subir, d'utiliser cette folie comme moteur pour tout ce que j'entreprend. Mais plus je réussis, plus je deviens fou. Et plus je deviens fou, mieux j'attend les objectifs que je me fixe.
La folie est un lion furieux terré dans chaque crâne. Il ne faut surtout pas l'abattre. Il suffit de l'identifier et de le dompter. Votre lion apprivoisé vous guidera alors beaucoup plus loin que n'importe quel maître, n'importe quelle école, drogue ou religion. Mais comme toute source de puissance, il y a un risque à trop jouer avec sa propre folie : Parfois, le lion, survolté, se retourne contre celui qui voulait le dompter.

Tiré de l'encyclopédie universelle du savoir relatif et absolu.
Néanmoins, je ressens assez ce que ca décrit. Au mot près.





CThulhu F'tagnh !

Samedi 21 avril 2007 à 23:30


C'était juste pour partir,
Un sentiment que l'on retient,
Une chose qui nous fait souffrir,
Mais que l'on gardera sien.

Je sentais en moi cette impression,
Cette envie de feu, de rubis et de chant,
Comme une musique que l'on écoute éternellement,
Que l'on ne se lasse pas d'écouter, juste en fond,
Une Folie qui poussera plus à se taire qu'à parler,
Qui donnerait une souffrance que l'on ne peut pleurer.

C'est la Vie, tout simplement,
Qui frappe à ma porte,
Et qui entre de telle sorte,
Qu'elle fait partie de mon sang.

Comme une brise d'enfer qui soufflerait,
Apportant destructions et châtiments,
Qu'en mille facons je mourrais,
Et que tout m'a paru si lent,
Que je me demande où en est la Fin,
Pour pouvoir mettre mon âme en son écrin.

Comme un joyau à chérir pour toujours,
Elle qui souffrit à chaque jour,
Que je ne pus consoler à grande peine,
En oubliant le plus possible,
Ce sentiment terrible, peu amène,
Que la Vie me restera incompréhensible.



Ô la Vie,
comme tu n'es que trop présente.
Comme cela me ronge.
D'être Seul avec Moi.


Vendredi 20 avril 2007 à 22:46


En Afrique, on pleure la mort d'un vieillard plus que la mort d'un nouveau-né. Le vieillard constituait une masse d'expériences qui pouvaient profiter au reste de la tribu Alors que le nouveau-né, n'ayant pas vécu, n'arrive même pas à avoir conscience de sa mort.

En Europe, on pleure le nouveau-né car on se dit qu'il aurait sûrement pu faire des choses fabuleuses s'il avait vécu. On porte par contre peu d'attention à la mort du vieillard. De toute facon, il avait déjà profité de la vie.


Edmond Wells,
Encyclopédie du savoir relatif et absolu.




Notes personnelles

Les européens sont très hypocrites, et orgueilleux de croire que leur ' sang ' pourrait faire mieux. C'est instinctif de se dire que ce qui est sorti de nous est forcément meilleur, supérieur. Et que ceux qui gênent, ceux qui savent, les vieillards, ne sont là que pour maintenir le souvenir de jours passés.
Mais aujourd'hui, dans ce monde orienté vers le profit, la capacité à produire, nous sommes tournés vers le Futur. Qui penserait à se retourner vers le Passé ?

Lundi 16 avril 2007 à 23:18

Ce fut un jour, qui était comme les autres.Un jour normal.

Un jour qui dure depuis plus de 16 ans, maintenant.




Ce Jour-là,
 je suis mort.






Que dirais-je à Dieu ? ( si tant est qu'il en existe une forme qui puisse nous parler . Voire qu'il existe tout simplement. )
Que lui dirais-je ?

Laisse moi être comme Toi. Laisse moi emprunter la voie du Créateur. Laisse moi monter, toujours plus haut. Et surtout... qu'y a-t-il au dessus de Toi ?



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