C'était juste pour partir,
Un sentiment que l'on retient,
Une chose qui nous fait souffrir,
Mais que l'on gardera sien.
Je sentais en moi cette impression,
Cette envie de feu, de rubis et de chant,
Comme une musique que l'on écoute éternellement,
Que l'on ne se lasse pas d'écouter, juste en fond,
Une Folie qui poussera plus à se taire qu'à parler,
Qui donnerait une souffrance que l'on ne peut pleurer.
C'est la Vie, tout simplement,
Qui frappe à ma porte,
Et qui entre de telle sorte,
Qu'elle fait partie de mon sang.
Comme une brise d'enfer qui soufflerait,
Apportant destructions et châtiments,
Qu'en mille facons je mourrais,
Et que tout m'a paru si lent,
Que je me demande où en est la Fin,
Pour pouvoir mettre mon âme en son écrin.
Comme un joyau à chérir pour toujours,
Elle qui souffrit à chaque jour,
Que je ne pus consoler à grande peine,
En oubliant le plus possible,
Ce sentiment terrible, peu amène,
Que la Vie me restera incompréhensible.
Ô la Vie, Un sentiment que l'on retient,
Une chose qui nous fait souffrir,
Mais que l'on gardera sien.
Je sentais en moi cette impression,
Cette envie de feu, de rubis et de chant,
Comme une musique que l'on écoute éternellement,
Que l'on ne se lasse pas d'écouter, juste en fond,
Une Folie qui poussera plus à se taire qu'à parler,
Qui donnerait une souffrance que l'on ne peut pleurer.
C'est la Vie, tout simplement,
Qui frappe à ma porte,
Et qui entre de telle sorte,
Qu'elle fait partie de mon sang.
Comme une brise d'enfer qui soufflerait,
Apportant destructions et châtiments,
Qu'en mille facons je mourrais,
Et que tout m'a paru si lent,
Que je me demande où en est la Fin,
Pour pouvoir mettre mon âme en son écrin.
Comme un joyau à chérir pour toujours,
Elle qui souffrit à chaque jour,
Que je ne pus consoler à grande peine,
En oubliant le plus possible,
Ce sentiment terrible, peu amène,
Que la Vie me restera incompréhensible.
comme tu n'es que trop présente.
Comme cela me ronge.
D'être Seul avec Moi.