Dimanche 18 mars 2007 à 0:34



Il pleut.

Vendredi 16 mars 2007 à 16:55

Et la fleur disait au papillon céleste :
- Ne fuis pas !
Vois comme nos destins sont différents :
Je reste, tu pars.

(Victor Hugo)


Je suis de bonne humeur, mais pourtant je ne les vois pas.
Presque à penser qu'on m'évite mais je m'en fiche.
Car en effet, je suis de bonne humeur !
Yahoo, dirais-je, si je n'étais poli.

Yahoo !

J'en profite.
Et vous pourriez en faire autant, car au rythme où cela va, vous me reverrez quand je serais à nouveau en déprime =D
Et je pourrais alors vous dire :

"Il fallait le voir quand il en était temps. "

Et je pourrais me détourner sans honte.
N'empêche que je n'en reste pas moins de bonne humeur.
J'ai plus qu'à me trouver une compagne ><






Samedi 17 mars 2007. Jour de naissance + 5552 jours.

Mais qu'attendons-nous là ? Mais qu'est-ce que je fous là à attendre ?
Attendre quoi ?


Hélas, comme une vie passe lentement, et rapidement...

Jeudi 15 mars 2007 à 22:04


Qu'est-ce qui est mieux que Dieu, pire que le Diable, que les pauvres ont mais que les riches n'ont pas, et que si on en mange, on en meurt ?





Mangeons nous de la Lune parce qu'on aime caresser les étoiles ?

Jeudi 15 mars 2007 à 17:48

Suis de bonne humeur, bizzarement. Un détachement général est pour moi une bonne chose, mais tout en se rapprochant de la vie en elle-même.

BON SANG ! Mais je suis de bonne humeur, mouahahah !
Je peux enfin écouter de la musique pas triste !

Profite-en. Vois des gens, parle et tout, et n'oublie pas.
Reste conscient.

Carpe Diem


Mercredi 14 mars 2007 à 21:35

Un Sage a dit :

Ce ne sont pas les Faibles qui se nourissent à l'aide des Forts, mais bien les Forts qui se nourissent des Faibles.

Passé, Futur et Présent s'entrecroisent et se bousculent.

Aucune notion de Futur en tête. Je ne le vois pas, dans le lointain. Je n'entrevois que le futur proche, et encore, il est flou. Ces visions s'effacent souvent pour d'oniriques pensées.
Peut-on envisager un futur dans un monde qui ne nous convient pas, pour y rester seul ? Le Futur nous oblige à penser au présent comme veille du lendemain, ce qui signifie que nos actes ont une conséquence sur la suite. Nous devons alors penser en deux temps, l'instant, et l'après. Cela implique une certaine distance pour pouvoir évaluer les risques, les chances.

Penchons nous sur le Présent.
Carpe Diem, comme le dit Epicure. Cueille le Jour.
Qu'apporte donc le présent ? Un sentiment de frustration, de vide, d'ennui.
Mais n'est-il pas le temps de référence ? Si l'on est absent du présent, où doit-on aller ? Le présent n'est qu'une prison qui nous oblige à voir les choses sous un aspect artificiel, de premier degré, mais aussi de spontanéité, le naturel. On devrait pouvoir prendre du recul, et voir les choses de nombreux angles différents.

Il reste le Passé. Quelle merveilleuse solution que vivre dans le passé. Hélas, il n'est qu'illusion, ombre du présent, vision du futur. On se remémore nos actions, mais dans le passé, on peut les changer à notre guise, pour avoir une meilleur vision de nous. On peut oublier une partie de notre passé, qui nous gêne. Je pense que l'on doit garder son passé en tête, pour savoir qui l'on est vraiment, ce qui nous permet de juger nos actions objectivement, de visualiser notre être dans sa totalité. Mais le passé n'en reste pas moins une cassette modifiable à volonté.

Vivons dans les Trois en même temps. Que le Passé devienne Futur, le Futur Passé, et que le Présent s'étende du fond du Temps jusqu'à l'incommensurable infini.

La Réalité est plus que cela, malgré tout.

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