Vendredi 23 mars 2007 à 23:37

Ne le vois-tu pas ? Ne le sens-tu pas ?
Je suis là, et je suis content d'être moi.
Je suis vraiment, oui, vraiment, content d'être là, et j'ai envie d'y rester.
Je ne vous vois plus, à qui la faute ?
Je ne le sais, mais il y a une chose que je sais.
Si tu veux me voir, viens, mais je ne bougerais pas,
par peur de briser cet équilibre que j'ai.

Je pars trois jours avec la classe, si jamais vous vous demanderiez où je suis.
Vous avez été beaucoup pour moi, et je préfère presque vous laisser comme ca, car cela aurait pu être pire.
Sache au moins, que tu as participé à me faire devenir ce que je suis aujourd'hui.
Sache au moins, avant qu'on se fonde mutuellement dans la foule, que je garderais cette sensation qui a fait de moi, je l'espère, un humain que tu as su apprécier un moment, un peu plus qu'un " légume en pleine crise d'ado " à tes yeux. Juste ce garçon qui a filé dans vos vies, en bien ou mal... peu importe. Je ne regrette rien.

Sur ce, si jamais tu vois cela, et même si j'aurai aimé pouvoir le dire à voix haute... Merci et Adieu.



" Beati pauperes spiritu "
" Bienheureux les pauvres d'esprits "

( Évangile selon Matthieu, V, 3)




Par natacha le Dimanche 25 mars 2007 à 20:26
tu quittes la blogosphère?

passe une belle vie alors
Par im-kopf le Jeudi 5 avril 2007 à 14:45
La vie est comme elle est,
tout chose faite chez elle est obligatoire, nous ne pouvons pas revenir en arrière, même si on le pouvais ça serais mal, car toute chose mauvaise en apporte une bonne.
Tu as changé, mais tu n'as pas changer seul, le monde a changé avec toi, ce n'est pas perceptible mais il l'a fait, ça prouve que où que nous soyons quelqu'un est avec nous, quelque chose change avec nous, nous ne sommes jamais seul.
Nous n'étions pas avec toi matériellement mais spirituellment oui, nous ne t'avons jamais quitté, je ne t'ai jamais quitté.
Maître[tien ça fesais longtemps] ce n'ai pas toujours à nous de faire le premier pas.
Si nous avons pu te faire changer et devenir plus social j'en suis heureuse.
Mais surtout si le faite de revenir avec nous te ferais perdre ta bonne humeur, je prefère perdre un ami comme toi plutôt que de te voir retourner dans tes perpetuelles déprimes... Je ne veux pas t'infliger de telles souffrance. Ce serais égoïste de ma part de faire autrement...


ta disiple dévoué qui t'aime...
 

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